08.02.2024 • 3 minutes
Marina Schneider endosse plusieurs casquettes à l’Université de la Polynésie Française (UPF) : enseignante en biologie cellulaire, elle est également Vice-présidente de la CFVU, la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire.
Elle nous raconte pourquoi l’UPF a choisi Wooflash pour favoriser la réussite étudiante.
La vie étudiante et la réussite académique occupent une place cruciale au sein de l’UPF. Pour accompagner les étudiants et favoriser leur réussite, l'université se structure autour de cinq pôles stratégiques comprenant la scolarité, la vie étudiante, l'orientation stage et insertion professionnelle, la réussite étudiante et l'innovation pédagogique.
L’UPF recherchait un outil adapté aux besoins et au rythme de chaque étudiant, répondant ainsi aux défis spécifiques auxquels est confrontée l’université :
M.S. : A l’UPF, les profils entrants sont très hétérogènes, certains arrivent avec de fortes lacunes à combler. C’est pourquoi nous avons mis en place le PAREO, le “Passeport Réussite Orientation”. C’est un parcours qui aide ces étudiants à consolider leurs bases fondamentales dans différentes matières. Et nous étions à la recherche d’un outil adapté aux niveaux et au rythme de chaque étudiant.
Dans un contexte d’innovation pédagogique, l’UPF a décidé de proposer l’utilisation de Wooflash auprès des enseignants et encadrants des pôles orientation stage et réussite étudiante.
M.S. : L'objectif est de sensibiliser les enseignants à diverses méthodes innovantes. Nous organisons chaque année un séminaire dédié à l’innovation pédagogique et c’est en février 2023 que nous avons découvert Wooflash.
M.S. : Je scénarisais déjà mes cours sur Espadon (Moodle). Je réalisais des capsules vidéos de 15 à 20 minutes. Entre chaque vidéo, je rajoutais des questions “vrai ou faux”. Lorsque j’ai découvert Wooflash au séminaire de février 2023, je l’ai tout de suite adopté. Wooflash correspond parfaitement à ce que je souhaite réaliser avec mes étudiants en troisième année, c'est-à-dire, qu’ils réinvestissent le cours pour leurs révisions.
Marine Schneider utilise Wooflash de différentes manières selon le niveau de ses étudiants :
L’objectif en 1ʳᵉ année : l’acquisition de connaissances
M.S. : Pour mes étudiants de 1ère année, l’objectif, c'est l’acquisition de connaissances. Wooflash répond à cet objectif en les aidant à réviser, notamment grâce aux flashcards.
L’objectif en 3ᵉ année : s’approprier le cours
M.S. : Pour mes cours de 3ᵉ année, je propose un exercice dans lequel mes étudiants sont en binômes et où ils doivent expliquer au groupe comment ils comprennent le cours. Wooflash leur permet de se poser les questions et les réponses. Grâce à cet exercice, les étudiants sont acteurs de la création de contenu et de l’acquisition de leurs connaissances. Et ça rajoute une certaine interactivité entre les étudiants.
Découvrez le témoignage de Stéphanie Soulet sur l’utilisation de Wooflash pour ses cours de chimie.
M.S. : Mon rôle est d’être présente lors de ce type de formation et d’y prôner l’utilisation de Wooflash et d’autres techniques interactives. Chez les enseignants, il y a trois catégories de réactions face à ce type d'outil : les convaincus, ceux qui n’en veulent pas et les curieux, mais réticents. C’est cette dernière catégorie que nous devons convaincre.
Par exemple, une enseignante pensait que la filière de Lettres n’était pas adaptée pour ces changements. Après à une série de formations, elle a été convaincue d’utiliser Wooflash dans ses cours.
M.S. : Notre stratégie consiste à intégrer graduellement Wooflash dans les cours où les enseignants sont motivés à les utiliser. Nous n’imposons rien. Pour cette année 2023-2024, il y a déjà une dizaine d’enseignements qui vont commencer à l’utiliser.
Découvrez le témoignage de Sophie Guichard, Responsable du Pôle d’Innovation pédagogique à l’UPF.
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