Il était une fois… mille et uns usages créatifs de Wooflash. Mille et un établissements. Mille et une matières, et autant de questions originales conçues par les enseignants pour accompagner leur groupe. 

Découvrez-les dans cette nouvelle série et faites le plein d’inspiration.

Un établissement

• L'Université Paris Descartes.
• Son Institut de Psychologie.

Une enseignante héroïque

• Laurence CHABY, Maître de Conférences HDR en Neurosciences à l'Institut de Psychologie.

Les étudiants qu'elle accompagne

• 650 étudiants
• UE de psychophysiologie-neurosciences en 3ème année. 

Ce qu'elle attendait de l'outil

Laurence CHABY poursuivait 3 objectifs pédagogiques clairs :

1.  Introduire plus d’interactivité pour ancrer les savoirs. En neurosciences, l’étude du cerveau est au centre ; or ce n’est pas évident de suivre ! 
   
   “Il faut donc beaucoup d’interactivité pour maintenir l’attention, et d’autant plus à distance.”
   
2. Répondre aux défis de l’enseignement à distance. Comme Laurence CHABY l’explique : 
   
   “En 2020, le fait d’être complètement à distance et de donner uniquement des enregistrements de cours magistraux me faisait un peu culpabiliser. En amphi, ils me posent des questions, ils viennent me voir à la fin du cours... Donc avec Wooflash j’avais l’impression de pouvoir pallier le manque de contact.”
   
   Or pour les étudiants, l’année 2020 a été particulièrement difficile. Se sentant déconnectés de leurs enseignants, ils étaient demandeurs d’interactivité et de ressources pour réviser.
   
3. S’investir dans les révisions des ses étudiants. Il arrive que les associations étudiantes prennent les devants et créent des supports de révisions. Pour ​​Laurence CHABY, il est important de fournir un contenu pédagogique de qualité, pensé par l'équipe enseignante.

Son usage de Wooflash

Quel contenu ?

“Je cible quelques points importants du cours qui se prêtent à de petites questions/réponses simples et rapides. Ce sont les infos ou définitions essentielles qu’ils doivent connaître du tac au tac.”

Combien de questions ?

• 8 cours créés
• 8 à 10 questions par cours

Quels types de questions ? (*les questions sont données à titre d’exemple et ne proviennent pas de L. Chaby)

• QCM - ex : Parmi ces organes, lequel(s) ne fait pas partie du système nerveux ?*
• Réponse courte - ex : Comment s’appelle le lobe cérébral qui englobe notamment l'hippocampe et l'amygdale ?*
• Trouver sur image - ex : Cliquez sur la zone où l’on trouve l'essentiel des neurones.*

L'impact de Wooflash

1) Les bénéfices pour l’enseignant

L’avantage principal de Wooflash pour Laurence CHABY est d’avoir une vue sur les révisions et la progression de ses étudiants au long du semestre. Une information qu’elle n’avait pas auparavant.

“On a un peu l’impression de rentrer chez eux. D’habitude on leur donne des choses à lire, on ne sait pas qui lit, qui fait ou non. Donc là on sait exactement les étudiants qui ont bien participé, voir leurs erreurs."

Elle s’est ainsi rendue compte que la majorité des inscrits réalisaient les activités Wooflash :

“L’accès aux statistiques détaillées me permet de déterminer si fournir ces questions a un intérêt. En effet, je n’aurais pas continué à utiliser Wooflash si seulement 20% des étudiants s’en servaient."

2) Les bénéfices pour les étudiants

• Un lien continu avec leur enseignant et la matière :

“Ceux qui ont participé ont trouvé ça génial. Certains m’ont envoyé des mails, ou m’en touchaient un mot quand on les avait en TD en Zoom. Les retours étaient positifs : le sentiment qu’on s’intéressait à eux, plutôt que de simplement envoyer des vidéos. Donc ça créait du contact même si ils étaient seuls à travailler.”

• Un outil qui contribue à la réussite des examens :

“On pourrait penser que le Wooflash est corrélé à la réussite aux examens ; il y a environ la moitié qui a eu au-dessus de la moyenne, et c’est certainement ceux qui faisaient les Wooflash, voire les répétaient pour améliorer leur score.”